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Une baisse de 5 % dans l’immobilier ancien d’après le réseau Laforêt
Au cours du premier trimestre de l’année 2013, les
prix ont poursuivi leur baisse dans le secteur du mobilier ancien et tout
particulièrement en province. Pour le moment, la capitale n’a pas encore cédé
remarque Laforêt, tandis que la demande se ressaisit. Cependant d’après le
réseau d’agences immobilières, les négociations s’avèrent complexes.
Laforêt
constate une diminution des prix dans les régions
Dans le secteur immobilier, le prix ne cesse de
diminuer. Ce sont du moins les constats du réseau Laforêt qui dévoiele ces
données pour le premier trimestre 2013. Comparé au dernier trimestre de l’année
2013, les prix ont effectivement diminué de 2 %. Dans la province, cette
diminution est plus ressentie : -4 % avec un coût moyen pour le m² de
2.063 euros. Le réseau de l’immobilier remarque particulièrement que le marché
des logements secondaires est au suspens, effet du changement des impôts sur
les plus-values.
Sur Paris, le recul aboutit également à 3 % pour
3.684 euros le m² et la baisse va jusqu’à 10 % sur certaines logements d’après
Laforêt. Mais la région parisienne ne cède pas, et vit une diminution de 1 %
seulement pour 8.129 le m², d’où le recul de 4 %, depuis le record généré au
mois d’août 2013 à 8.460 euros d’après les notaires de Paris. Si dans la
capitale la vente des petites surfaces bat son plein, les grands appartements
ont par contre de la difficulté à trouver des clients potentiels en dépits des
prix en baisse. Les chiffres dévoilés par Laforêt sont légèrement différents
des évolutions publiés par Century 21. Durant le premier trimestre, il a
effectivement remarqué une diminution considérable au sein de son réseau, de
3,4 %, des prix de la région parisienne, mais par contre, le coût au mètre
carré ressemble à celui de Laforêt à 8.106 euros.
Seule Paris
ne connaît pas un recul des stocks de biens
Les prix diminuent alors dans un marché assez
complexe. Les transactions s’avèrent difficiles, remarquent les agents de
Laforêt. Les volumes sont réduits à peu près égal à 12 % dans toutes les branches,
d’après l’évolution évaluée durant le dernier trimestre de l’année 2012. Les
motifs ? L’offre est faible et met du temps pour se reconstituer, les
vendeurs ne cèdent pas à cause des prix élevés et l’endurcissement des clauses
pour accéder aux crédits immobiliers.
Bref, les stocks des biens immobiliers en vente tendent à se replier, de 0,5 %
sur Paris et de 3 % en province.
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