L'Observatoire Crédit Logement/CSA révèle dans une enquête réalisée
récemment que le volume de crédit accordé par les organismes prêteurs a
connu un rythme moins soutenu durant les trois premiers mois de l'année.
Production de crédit : une baisse moins importante au T1 2013
6.5.13Une disparité hommes/femmes criante pour l’accès au crédit
24.4.13
Le courtier spécialisé en emprunt immobilier, Empruntis a réalisé une étude de la typologie des candidats à l'acquisition sur les célibataires. Son rapport établit que les femmes demandant un crédit restent minoritaires.
Les femmes représentent 30 % des célibataires emprunteurs
Les femmes célibataires sont minoritaires dans la course à l'accession à la propriété. Empruntis conclut dans une étude publiée récemment que la gent féminine ne représente que 30 % des effectifs des personnes s'engageant en solo dans un emprunt bancaire. Cette situation est due à la situation sociale des emprunteuses dont la majorité (36 %) doit s'occuper toute seule de sa progéniture alors que les hommes sont seulement 27 % à avoir des enfants à charge. La même enquête révèle que 31 % des demandeuses de financement travaillent comme employées, 22 % d'entre elles sont des cadres et 21 % occupent un poste dans la fonction publique.Les femmes moins nanties que les hommes
Le déséquilibre des effectifs des hommes célibataires et des femmes seules sur le marché de l'immobilier est donc flagrant. La société Empruntis explique cette situation par le fait que le niveau de revenus des emprunteuses est 25 % moins élevé que celui de leurs homologues masculins. Ces derniers auraient des revenus mensuels nets d’impôt de 4012 euros contre seulement 2986 pour les femmes. Cet écart se ressent également sur la capacité d'endettement de ces demandeuses de prêt. Si celles-ci contractent en moyenne un crédit de 191 599 euros, ce montant s'élève à 205 803 euros pour les messieurs.Un apport personnel plus conséquent
Pour combler leur handicap, les femmes candidates à l'acquisition sont contraintes de fournir plus d'efforts pour être crédibles. Celles-ci afin de réaliser leur rêve d'acheter une maison doivent proposer un apport personnel beaucoup plus important. Si à Paris, un homme de 37 ans gagne en moyenne 7.250 euros par mois il doit disposer d'un apport 148.000 euros. Son homologue femme d'environ 38 ans, gagne 4.900 euros par mois, mais doit en revanche disposer de 164.000 euros d'apport.Le taux de crédit immobilier se stabilise en mars
4.4.13Des taux de crédit stables en mars
Selon AB Courtage, les taux de crédit immobilier ont connu une stabilisation au mois de mars. En détail, les demandeurs de crédit peuvent souscrire un prêt immobilier avec un taux moyen de 3.20 % pour le taux fixe hors assurance pour les crédits à long terme sur 20 ans. Pour les crédits d'une durée de remboursement de 25 ans, les banques octroient un taux moyen de 3.65 %. Cette stabilité s'explique par la décision de 80 % des banques de ne pas revoir à la hausse leur taux de crédit immobilier. Ainsi, 20 % des banques seulement ont augmenté leur taux de crédit, mais cette hausse a été ensuite palliée par d'importantes décotes. Les records des plus bas taux sont aujourd'hui battus pour les crédits. Les banques proposent entre 2.65 à 3% sur les crédits sur 15 ans et entre 3.10 à 3.40 % pour ceux d'une durée de remboursement de 20 ans.Bonne nouvelle pour les emprunteurs
En tout cas, ce sont les emprunteurs qui se réjouissent de cette nouvelle puisqu'ils peuvent encore profiter d'un taux intéressant lors de la souscription d'un prêt immobilier. Les taux restent plus ou moins séduisants avec le rabais de l'OAT qui constitue l'indice de référence des taux fixes à hauteur de 2 % depuis déjà trois mois. Ainsi, si le taux était de 2.26 % au début du mois de février, le 7 mars dernier, il s'élevait à 2.09 %.Le moment propice pour investir dans la pierre
À cause d'une baisse du volume des crédits immobiliers à hauteur de 29 % en 2012, les banques restent prudentes. En outre, les transactions ont diminué de 20 % et les professionnels prévoient encore un recul de 12 % en 2013. Les ménages modestes seront privilégiés par cette situation, car grâce à la baisse des taux, la capacité d'emprunt des familles s'agrandit leur offrant une occasion d'acquérir un bien immobilier plus confortable et plus grand. Ainsi, si une famille souscrit un crédit avec une mensualité de 1000 euros étalés sur 20 ans, elle pourra avoir 16 708 euros supplémentaires. Bref, le mois de mars est le meilleur moment pour souscrire un crédit.Mise en ligne par Ulan
Baisse du taux d’emprunt immobilier : coup d’épée dans l’eau
5.12.12Les taux des crédits immobiliers continuent de baisser, un mouvement constaté depuis le printemps, mais qui a tendance à s’amplifier ces dernières semaines. Malheureusement, leur incidence sur le volume de la production de crédits est faible, voire inexistante.
Un grand paradoxe
Normalement, une diminution des taux d’intérêt des emprunts immobiliers incite les ménages à investir dans la pierre. D’après Michel Mouillart, professeur d’économie à l’Université de Paris Ouest, la production de crédits immobiliers est estimée à 115 milliards d’euros pour l’année 2012. Il a atteint 120 milliards au plus fort moment de la crise en 2009 contre 160 milliards en 2011. Ainsi, une baisse de 30 % est constatée par le Crédit Logement pour les neuf premiers mois de 2012 par rapport à la même période de l’année précédente. Or selon l’Agence nationale pour l’information sur le logement (Anil), la diminution des taux d’intérêt n’a pas eu l’effet escompté sur leur production.
À chaque banque ses taux
Dans cette période de forte concurrence, chaque banque applique ses propres taux. En règle générale, ils ont baissé au 15 novembre 2012. Selon la dernière publication de l’agence, la quasi-totalité des établissements bancaires français a réduit leurs index pour le quatrième trimestre alors qu’elles étaient seulement cinq à le faire pendant le troisième trimestre. Ainsi, le taux le plus bas déclaré par les banques citées par l’agence est de 3,02 % avec un pic à 3,75 %. Le taux le plus haut affiché par ces établissements est de 4,40 % avec un plancher à 3,75 %.
Une tentative d’explication
L’Anil constate qu’il y a un réel attentisme au niveau des acheteurs et l’immobilisme du marché de l’immobilier les incite à espérer une baisse des prix de vente. Ainsi, les ménages ne sont plus encouragés à investir dans la pierre malgré un taux d’intérêt exceptionnellement bas. Un constat renforcé par le directeur général du groupe Meilleurtaux.com qui confirme que ce paradoxe provient du fossé qui existe entre le prix réclamé par les vendeurs avec la capacité d’emprunt des néo accédants à l’immobilier.
Investissement immobilier à l'étranger : les pièges à éviter
14.9.12
Il peut être
tentant d'investir dans l'immobilier à l'étranger. Certaines destinations font
rêver, tant par leur culture, leur confort de vie, leur climat agréable que
pour le prix de l'immobilier. Mais acheter un bien à l'étranger implique
d'éviter les pièges, et côté financement, mieux vaut se
renseigner sur le crédit immobilier avant de se décider. La procédure
d'acquisition d'un bien immobilier en France est ultra protectrice pour
l'acquéreur tant au niveau juridique que fiscal. Le notaire joue sérieusement
son rôle de conseil, les banques informent les
personnes qui souhaitent contracter un crédit immobilier. En
revanche, acheter un bien dans un pays étranger impose toute la prudence
nécessaire. Aux Etats-Unis, les lois qui régissent l'acquisition d'un bien ne
sont pas les mêmes dans tous les états, et celles s'appliquant en cas de bien
locatif diffèrent également.
L'Indonésie, le
Maroc et l'Espagne sont trois autres destinations très prisées par les
investisseurs. Certains souhaitent simplement y acheter des immeubles locatifs
générateurs de revenus, d'autres prévoient s'y installer définitivement pour y
travailler ou y couler une retraite heureuse, d'autres enfin préfèrent s'offrir
un petit pied à terre pour leurs périodes de vacances. Quel que soit le bien
immobilier convoité, là encore le bon sens est de mise.
L'investissement
immobilier à l'étranger implique de se tenir informé du prix du marché
dans le secteur géographique convoité car les biens mis en vente sont souvent
surévalués. Autre point et non des moindres : prendre la précaution d'ouvrir un
compte convertible afin de pouvoir rapatrier ses fonds en France en cas de
revente du bien. Ce qui impose de finaliser la vente en euros. Il convient
également de se méfier des prix trop bas, des demandes de cash. Prendre la
précaution de faire traduire tout écrit en langue française par un traducteur
assermenté. L'idéal est de prendre tous les renseignements possibles chez un
notaire français et auprès des banques avant de négocier un bien immobilier à
l'étranger. Enfin, mieux vaut préférer traiter avec des professionnels
reconnus.
Les crédits immobiliers sont-ils à la portée de tous ?
13.9.12
Si la majorité des banques françaises continuent de baisser
leurs taux d'intérêt sur les crédits immobiliers, le nombre de demandes de prêt
continue également de baisser. Avec le blocage du marché immobilier, le crédit
immobilier est-il à la portée de tous ?
Baisse des taux de
crédit immobilier
L'Agence nationale pour l'information sur le logement ou
ANIL a révélé que plusieurs banques françaises continuent de revoir leurs taux
d'emprunt à la baisse. Ce fléchissement varie entre moins 0,15 % et moins 0,40
% selon les cas. Cette baisse continue des taux de crédit semble manifester une
volonté des banques à relancer le marché immobilier. Selon l'agence, les taux
de crédit les plus intéressants sont ceux du Crédit Immobilier de France à 3,95
%, Crédit Mutuel à 3,85 %, Le Crédit Lyonnais à 3,78 %, Crédit foncier à 3,70
%, Caisse d'Épargne à 3,60 %, Crédit Agricole à 3,40 % et Cetelem où le taux
est de 3,38 %. Malgré des taux aussi avantageux, la demande de prêt est
également en baisse, mettant le marché du crédit dans une situation
particulièrement délicate.
Le marché du crédit immobilier en difficulté
Le marché du crédit marque un recul soutenu en matière de
distribution de prêt. Dès le premier trimestre, le volume de prêt accordé a
connu une importante baisse de l'ordre de 39,2 % par rapport au premier
trimestre de l'année précédente. Le repli se poursuit au second trimestre avec
un recul de 21,4 % enregistré en juin 2012. Rien que pour le premier semestre
de cette année, la baisse s'établit à 33,1 % malgré le niveau très faible des
taux proposés par les banques. Beaucoup accusent ces dernières d’être à
l'origine du blocage du marché immobilier en France en adoptant des conditions
d'octroi de prêt de plus en plus restrictives. Sur l'ensemble de l'année, le
marché du crédit pourrait reculer de 25 % à 30 %.
Origines du
ralentissement immobilier
Le volume des
transactions immobilières a considérablement reculé en 2012. Bien que le crédit
immobilier soit devenu abordable, les conditions sélectives d'octroi de crédit
immobilier comptent parmi les facteurs ralentissant le marché immobilier. Effectivement,
les banques privilégient les emprunts à court terme alors que les ménages
modestes représentent la majorité des demandeurs de prêt à long terme, sur
vingt ans. Les acquéreurs anticipent également de nouvelles baisses de prix et
hésitent ainsi à acheter. Toutefois le mois de septembre, avec les prochains
salons immobiliers programmés, c'est le moment idéal de profiter des promotions
pour investir dans la pierre, notamment pour les primo-accédants pouvant
bénéficier des taux mixtes et autres
PTZ+.
Un emprunt immobilier va de pair avec l’assurance de prêt
immobilier. La Loi Lagarde vous offre la possibilité de choisir vous-même votre
assureur sans vous limiter à l'assurance proposée par votre banque.
Assurance-prêt-online propose des assurances de prêt intéressantes en termes de
prix et de garanties. Comme le pingouin, profitez d'une assurance
offrant un bon rapport qualité-prix pour votre crédit immobilier. L'expert
en assurance prêt immobilier vous permet d'ajuster votre contrat d'assurance
sans que le taux de votre crédit augmente. Trouvez la formule d'assurance
crédit immobilier correspondant au mieux à votre budget.
Rachat de crédit immobilier, les mesures à prendre
15.8.12
Il y a des
points essentiels à s’en tenir dans le monde du rachat de crédit immobilier.
Des mesures sont à prendre pour pouvoir balancer le taux d’intérêt, et recevoir
pleinement le privilège.
D’abord, les offres sur l’investissement dans les
prêts immobiliers sont très variées sur le marché. C’est pour cette raison
qu’il faut bien ausculter les prestations des organismes de crédit avant
d’avancer vers tout accord. S’il le faut, faire appel à un courtier de banque
professionnel pour les conseils et les guides pour toutes démarches menant à
une quelconque conclusion.
Un premier
cas d’emprunt immobilier
Au cas où un emprunteur penserait à accorder un crédit immobilier, le
mieux c’est de faire racheter les prêts actuels pour obtenir l’affaire. Avec un
rachat de crédit, le taux doit être plus bas, et donc plus avantageux qu’avec
une simple créance. De ce fait, c’est un taux minimum qu’on doit obtenir pour
pouvoir générer plus d’intérêt. Cela dit, pour un nouvel emprunt, il faudrait
cibler le bon marché, et conclure avec certitude. Surtout, il ne faut jamais
tenter de choisir le mode de remboursement des prêts amortissables, puisque le
gain généré dans ce type de crédit est en décroissance au fur et à mesure que
la durée d’acquittement de dette vient à sa fin.
Second cas
de crédit
Dans la mesure où un client veut changer ou négocier pour un autre type
de marché dans l’investissement de créance, il faut bien le situer par rapport
à son échéance. Au début du tiers de payement de dette, une renégociation doit
être envisageable. Cela vient toujours à partir d’un calcul, plus exactement,
d’une comparaison du taux d’intérêt qu’il génère. Ce ne sera pas la peine de
franchir les étapes de renégociation si le taux de la nouvelle offre est plus
élevé que celui d’encours. Il faut toujours se référer par rapport à ce qu’on
a.
Prendre en
référence la durée de règlement de compte
Si un emprunteur veut faire racheter ses crédits pour un rachat de crédit immobilier, en étant à la moitié ou même à la dernière tranche de
remboursement, l’affaire pourrait mal finir, tenant compte du gain que pourrait
générer le dernier choix. À ce stade, changer de type de rachat n’est plus une
affaire crédible. Il vaut mieux que le client fini la tranche de payement,
ensuite, s’investir de nouveau dans un autre rétablissement financier. Certes,
un rachat de crédit immobilier doit toujours être intéressant, mais il faut
savoir équilibrer, voir même maintenir un taux de crédit très bas.