Le CNTGI, l'instance suprême des professions immobilières
7.3.14Le marché immobilier d’Aiguillon
26.2.14Des mesures effectives dès septembre
La loi de Cécile Duflot sur l’immobilier a été définitivement adaptée par le parlement en début de semaine. Applicable à partir de septembre 2014, la principale mesure de la loi Duflot est l’encadrement des loyers.
En effet, les préfets fixeront chaque année
par le biais de décrets les loyers moyens qui seront majoré de 20%. Tous les
propriétaires seront dans l’obligation de se conformer à ce nouveau principe.
Un nouveau système de cautions
La mesure emblématique de la loi Duflot est très certainement la Garantie Universelle des Loyers appelé aussi GUL. Elle a pour but de se substituer à l’ensemble du système des cautions qui sont demandées par les différents bailleurs.
Un nouveau système de cautions
La mesure emblématique de la loi Duflot est très certainement la Garantie Universelle des Loyers appelé aussi GUL. Elle a pour but de se substituer à l’ensemble du système des cautions qui sont demandées par les différents bailleurs.
La loi
Duflot vise à répartir le cout de la garantie du loyer entre le propriétaire et
le locataire là où seulement le locataire payait auparavant. Un fond en Euros
de plus de 420 millions d’euros sera mis en place pour protéger tous les
propriétaires contre les impayés pendant une durée minimale de 15 mois. Il faut
cependant noter que les propriétaires pourront rester avec l’ancien système de
caution si ils le souhaitent.
Pour les personnes qui souhaitent investir dans l’immobilier
ancien, vous pouvez découvrir de merveilleuses maisons à vendre à Aiguillon. Le
village d’Aiguillon est un village tranquille où le marché immobilier est
prospère et où on trouve de très belles maisons à la vente.
Le marché immobilier tend à devenir inaccessible
27.11.13Hausse des prix dans le neuf
Les tarifs de l'immobilier dans le neuf ont relativement grimpé durant ces derniers mois. Les notaires expliquent cette hausse par l'entrée en vigueur de nouvelles normes, notamment celles concernant la réglementation thermique. L'importance des travaux nécessaires au respect de ces nouvelles mesures a en effet poussé les propriétaires à accroître leur prix. La diminution des aides fournies par l'État a en outre pénalisé les primo-accédants qui ont de plus en plus de difficultés à acquérir un logement. Si les primo-accédants représentaient 4 acheteurs sur 10 en 2009, ils ne sont désormais plus que le tiers à devenir propriétaires. Le Snal-Syndicat national des aménageurs lotisseurs confirme de son côté la difficulté pour les ménages à accéder à l'immobilier. Les offres ont en effet tendance à se raréfier d'où une demande plus importante et, forcément, des prix plus élevés. Le Snal considère par ailleurs que le PTZ a été mal structuré : le prêt est destiné à une acquisition dans le neuf, mais pour avoir droit aux 14 ans de différé, il faut disposer de revenus relativement faibles. Or les ménages à faibles revenus n'ont généralement pas les moyens d'acquérir une maison.
Le PTZ modifié ?
Le ministère du Logement note une baisse notable du nombre de PTZ attribué au cours de l'année. En 2011, la mesure a pourtant permis de soutenir 355 000 ménages, mais seuls 80 000 bénéficiaires en ont profité en 2012. Cette année, ce chiffre a été divisé par 2, notamment en raison des conditions d'attribution de plus en plus strictes et mises en place afin que seuls les ménages les plus modestes puissent en bénéficier. Pour le ministère, une modification des modalités du PTZ pourrait avoir lieu pour que cette mesure puisse profiter au plus grand nombre. Après l'adoption du projet de loi Alur, l'accession sociale à la propriété sera ainsi le prochain objectif du ministère. Cela apparaît comme une nécessité d'autant plus que les transactions dans le neuf se situent en moyenne autour de 200 000 euros contre 150 000 euros dans l'immobilier ancien. À ce tarif s'ajoutent les frais de notaire portés actuellement à 4,5 % au lieu de 3,8 %. Enfin, la difficulté à accéder à l'immobilier devrait s'accroître avec les banques qui ont durci leurs critères d'octroi de prêt ainsi que leurs marges. Bien que ces mesures ne concernent que 10 % des établissements bancaires, elles contribueraient à freiner l'accession au logement de la plupart des ménages.
La ville de demain naîtra dans les bureaux d'étude d'Efficacity
5.11.13Dévoilé au public à la mi-octobre, Efficacity se veut être la solution du gouvernement face à la consommation énergétique excessive ainsi qu'au rejet important de gaz à effet de serre. Son rôle se résume à l'élaboration de la ville de demain qui se veut moins consommatrice d'énergie et plus écologique.
La ville de demain sera écologique
En inaugurant l'Institut Efficacity, le gouvernement a souligné sa volonté de respecter les objectifs verts qu'il s'était fixé à travers les engagements européens et nationaux. Ceux-ci se résument à réduire la consommation énergétique des villes françaises de 20 % ainsi qu'à diminuer les émissions de gaz à effet de serre d'ici 2020. De manière concrète, ce nouvel organisme sera chargé de réaliser des recherches visant à améliorer les performances énergétiques des bâtiments puis des quartiers, avant de proposer des solutions destinées aux communes. À terme, Efficacity assurera ainsi une efficacité énergétique optimale et diminuera de manière considérable l'empreinte carbone des grands centres urbains. Un portefeuille de 15 millions d'euros lui a d'ores et déjà été alloué par l'État afin de financer le projet qui fait partie du programme Investissements d'avenir. Outre ce programme, l'Institut sera également en lien avec les travaux du Grand Paris et, au final, il dirigera 6 projets de recherche dans le but d'atteindre les engagements écologiques du pays.
Un label Efficacity Insight
L'Institut Efficacity est actuellement implanté à Marne-la-Vallée. La vingtaine d'entités qui le compose – 6 groupes industriels, 7 entreprises d'ingénierie et 15 structures académiques – collabore désormais de concert afin d'atteindre l'objectif fixé par le gouvernement pour les prochaines années.
Les 6 projets de l'Institut portent sur :
- la mise en place d’un Pôle Gare inter-modal destiné au plan du transport, de l’énergie et des services ;
- la création d’un nouveau type de logement collectif fonctionnant par l'intermédiaire des énergies vertes ;
- la réalisation de plan de couplage de débits énergétiques d'un site de production vers un site de consommation ;
- la conception d’un outil dédié à l'étude du cycle de vie des composants urbains ;
- l'étude des effets socio-économique des technologies utilisées en ville.
Les prix immobiliers dans les stations balnéaires françaises sont en baisse
16.8.13
Depuis quelques mois, les prix immobiliers enregistrés dans les villes et les régions longeant les côtes françaises ont enregistré une baisse non négligeable. Les détails.
Une baisse justifiée par une nouvelle législation fiscale
Des études récemment réalisées par le magazine Capital viennent de démontrer une baisse des tarifs immobiliers, en particulier dans
les régions françaises localisées sur le front de mer. D’après les
spécialistes immobiliers, la variation de ces prix se justifie avant
tout par l’instauration d’un nouveau système fiscal. Pour rappel, avant
le mois de février 2012, le propriétaire d’un bien immobilier prévoyant
sa revente obtient facilement une exonération fiscale sur la plus-value
s’il détient cette propriété depuis une durée excédant 15 ans. Le
gouvernement Fillon a ensuite décidé de prolonger cette durée à trente
ans, mais dernièrement, durant son intervention dans le magazine
Capital, diffusé sur M6 au mois de juin dernier, François Hollande a
porté ladite durée à 22 ans afin de redynamiser les ventes portant sur
les résidences secondaires.
Tour d’horizon des prix enregistrés auprès des côtes françaises
Avec la mise en place de cette nouvelle disposition
législative, le volume des transactions sur les résidences secondaires
installées en front de mer tend également à diminuer. Concernant les
villes faisant directement face à l’Atlantique, une diminution du volume
des ventes atteignant jusqu’à 20% a été récemment enregistrée, contre
10 à 18 % dans le Sud-ouest français et 5 à 10% en Bretagne.
A noter toutefois que la baisse des prix varie
d’une région à une autre. À titre indicatif, sur la Côte d’Azur, les
prix ont baissé de 6 à 10%, notamment à Sainte-Maxime et Grau-du-Roi.
Dans le Pays Basque, la baisse des prix s’étend seulement entre 4 à 6%.
Par contre, la diminution des tarifs qui se fait plus sentir dans les
Landes et la Gironde se situe entre 6 à 10%. En Bretagne jusqu’en
Vendée, les prix immobiliers enregistrent une baisse considérable allant
de 5% à 16%. En attendant la réalisation de la vente de leurs
résidences secondaires, les propriétaires n’hésitent pas à les placer en
location saisonnière, ne serait-ce que pour subvenir aux divers frais
d’entretien.
Prix de l'immobilier : une nouvelle baisse en vue
5.8.13
Selon les nouvelles prévisions du cabinet d'analyse Standard & Poor, le prix de l'immobilier en France et en Europe en général risque d'être revu à la baisse en 2013 et 2014.
Vers une baisse générale du prix de l'immobilier
Le prix de l'immobilier en France devrait baisser de 4% en 2013 et 2014 selon Standard & Poor's. Le cabinet d'analyse note tout de même que la France affiche encore des prix très élevés par rapport aux autres pays européens. Les primo-accédents qui pensent acquérir un logement auront donc du mal à y arriver. En effet, le nombre en hausse des prêts immobiliers accordés par les banques et les taux très bas contribuent à maintenir un écart considérable entre l'offre et la demande et par ricochet une stagnation des prix.La situation en Espagne
Le prix de l’immobilier espagnol connaît pour sa part une baisse considérable de l’ordre de 8 %. En cause, la situation critique de l'économie et une grande quantité de logements qui ne trouvent pas d'acheteurs qui s'élèvent à 635 000 à la fin de l'année 2012. Le chômage qui avoisine les 27 % n'arrange pas la situation. Si les conditions du marché immobilier demeurent difficiles, une amélioration est palpable dans les autres branches : consommation des ménages, ventes au détail en progression ; ce qui pourrait laisser envisager une meilleure situation dans les 12 mois à venir.Les autres pays européens
La situation est différente dans les autres pays européens. Au Portugal, Standard & Poor's estime une baisse de 3.5 % des prix en 2013, rappelons que le prix a augmenté en 1990 et en 2007 après la crise financière. Le tarif devrait se stabiliser d'ici 2015. Les Pays-Bas pourraient enregistrer une baisse de 5.5 % et 'Italie de 3% en 2013 alors que l'Irlande devrait annoncer un prix stable. En Allemagne, le prix devrait augmenter de 3 %, au Royaume-Uni de 2.5 % et en Belgique de 0.5 %.Lien utile :
Il faut penser à assurer son futur prêt immobilier au meilleur taux. Il est également bon de rappeler qu'il n'est pas obligatoire de souscrire à une assurance de prêt auprès de l'organisme qui nous a ouvert le crédit. Vous pouvez faire une demande de devis ou une simulation gratuite en ligne ici : http://www.assurance-de-pret-pas-cher.com/.
Immobilier : l'ancien résiste et le neuf recule
30.7.13
De récentes études sur le marché immobilier français annoncent une nouvelle baisse pour l'année en cours. Le volume de transaction devrait chuté de 11 % comparé à 2012, avec une résistance de l'ancien et un recul du neuf.
Encore moins de transactions en 2013
D'après une étude menée par Crédit Foncier Immobilier, le volume des transactions immobilières connaîtra une nouvelle baisse de l'ordre de 11 % en 2013, avec une baisse de 5,2 % enregistrée au premier semestre. Les transactions passeront de 709 000 en 2012 à 630 000 pour l'année en cours. Bien que les taux de crédit immobilier soient extrêmement bas, le marché immobilier peine à s'envoler. Les acquéreurs potentiels font preuve de prudence par peur de surendettement ou crainte de chômage. Les ménages français évitent ainsi de contracter des crédits à long terme, pénalisant le marché aussi bien sur le marché de l'ancien que du neuf.Contrastes et résistances dans l'ancien
Concernant le marché de l'ancien, les transactions ont progressé de 6,6 % au premier semestre selon Century 21. Cette amélioration est justifiée par une baisse de 2,6 % des prix au premier semestre. Cependant, le marché affiche des disparités aussi bien au niveau du volume de transaction qu'au niveau des prix. Au premier trimestre, les transactions ont baissé de 26 % à Paris. Cette baisse a été moins importante sur le marché francilien. Les prix de l'ancien affichent une résistance. La moitié des arrondissements du marché parisien affiche une baisse de 0,4 % à 11 %, tandis que l'autre moitié inscrit une légère hausse de 0 à 2 %.Le neuf poursuit sa chute
Les futurs acheteurs sur le marché du neuf se montrent hésitants face aux incertitudes économiques actuelles. Le développement des mises en vente est également limité face à de mauvaises perspectives économiques. Au premier semestre 2013, les ventes d'appartements neufs ont baissé de 3,6 %. Quant aux mises en chantiers, une baisse de 15,6 % a été enregistrée par rapport à 2012. Parallèlement à la baisse du volume de transactions du marché neuf, les prix diminuent peu en raison des coûts de construction et des charges foncières.Orpi lance une opération « pouvoir d'achat immobilier »
12.6.13
Fort du succès de son opération revalorisation des prix immobiliers, le réseau Orpi s'engage dans un autre projet encore plus ambitieux qui vise à améliorer le pouvoir d'achat des accédants à la propriété.
Le professionnel s'associe pour cette entreprise avec le groupe financier Crédit Foncier.
Objectif : emprunter plus
L'opération qu'Orpi compte conduire conjointement avec la banque Crédit Foncier entre le 06/10/2013 et le 31/10/2013 vise à relever le pouvoir d'achat des candidats à l'acquisition. Les deux partenaires proposent au potentiel acheteur une offre de crédit appelée « Foncier Plus Orpi » assortie d'échéances moins lourdes et permettant à l'acquéreur d'emprunter 10 000 euros à 30 000 euros de plus. Bernard Cadeau, le numéro un du réseau d'agents immobiliers explique qu'Orpi apporte une contribution financière de 3000 euros pour aider le demandeur d'emprunt à réduire ses versements mensuels de 50 euros pendant les cinq années qui suivent la signature du contrat de financement.
Une assurance pour prévenir une moins-value
Orpi et son partenaire vont adjoindre à leur formule de prêt une garantie qui permettra au candidat à l'acquisition à se prémunir contre les risques de dévalorisation du bien immobilier en cas de revente dans les soixante mois. Le montant de l'indemnisation sera plafonné à 15 000 euros. L'organisme prêteur prévoit également une assurance perte d'emploi qui prend en charge le paiement d'une partie des mensualités du crédit du débiteur sur une période de trente-six mois dans le cas où celui-ci se retrouve au chômage. Les modalités de cette assurance devront être inscrites dans le contrat de garantie.Un vrai coup de pouce
L'offre conjointe d'Orpi et de Crédit Foncier ne pourra être que bien accueillie par les emprunteurs dont la majorité a dû renoncer à son projet d'achat immobilier faute de moyen. Une enquête réalisée par le groupe d'agences immobilières révèle en effet que 60 % des candidats à l'acquisition sont confrontés à des problèmes financiers. 44 % des sondés reconnaissent que les prix de la pierre sont hors de portée de leur bourse tandis que la moitié des accédants à la propriété ne peuvent pas proposer un apport personnel suffisant.Connaitre le marché immobilier à l’étranger
27.5.13
Connaître
le marché.
Comprendre l'état actuel du marché de l'immobilier dans la zone
souhaitée aide le client à réussir les négociations.
DeSimone
recommande aux acheteurs de se renseigner sur le temps durant lequel
la maison a été mise sur le marché. Aussi, cet expert les
conseille de s’informer sur les éventuelles baisses des prix dans
les environs, ainsi que sur le nombre de maisons semblables qui sont
en vente dans le quartier ou dans le pays concerné. Investir
en Thaïlande
est
de plus en plus intéressant notamment avec un marché immobilier en
pleine extension.
De
son côté, Corbet, un agent immobilier, affirme que le prix de vente
convenu n'a pas d'importance si le prix moyen dans la région est
plus faible. Par exemple, le prix final peut être 400 000 euros.
Si les maisons similaires dans le voisinage valent 380 000 euros,
l'acheteur a peu de chances d'obtenir un prêt hypothécaire pour
400 000 euros.
Trouver
les véritables motivations du vendeur.
La connaissance des raisons qui poussent le propriétaire à vendre
est aussi essentielle que l’étude de marché. Pour glaner des
informations sur la motivation d'un vendeur, il est conseillé de
vérifier l’historique de vente de la maison. Renseignez-vous sur
les différentes offres déjà proposées pour ce même bien.
Pour
investir
en Portugal ,
il faut notamment tenir compte de la valeur patrimoniale fiscale. Il
s’agit de la valeur enregistrée dans la matrice cadastrale durant
la date du règlement. Dans cette matrice, la description du bien
immobilier est mentionnée ainsi que sa valeur patrimoniale fiscale,
sa situation sans oublier l’identité du propriétaire. La mise à
jour de cette matrice s’effectue chaque fin d’année.
Acheter
maison en Portugal,
n’est pas le même qu’en France où en dehors de la taxe,
l’acheteur doit encore payer les prestations du notaire. Les taxes
ne sont d’ailleurs pas les mêmes pour un achat avec prêt
immobilier et sans prêt immobilier. Il est important de noter qu’une
taxe est également conçue pour les biens neufs ou récemment
revalorisés. Le taux se situe entre 0,3 et 0,5%. Quant à la taxe
foncière, il appartient à la commune de la fixer. Si on a
l’intention de revendre le bien plus tard, une plus-value
immobilière est encore appliquée.
L'explosion de la bulle immobilière paraît peu probable, selon la FFB
5.4.13
Le scénario de l’explosion de la bulle immobilière n’a pas la cote auprès de la Fédération Française du Bâtiment. Elle avance plusieurs raisons à cette vision. Par contre, elle croit à une baisse des prix pour les trimestres à venir. Les détails.
Les programmes immobiliers en recul
L’immobilier
enregistre un effondrement du volume des transactions, à l’instar de ce
qui s’est passé en Espagne et aux Etats-Unis. Les ventes se font rares.
De plus, les mises en chantier ont fortement reculé. Ainsi, des
500.000 logements neufs programmés par l’Etat, seulement 304.234 ont pu
être achevés, de là, la crainte de l’explosion de la bulle. Malgré tout,
les prix ne se sont pas écroulés, souligne le président de la FFB. Le
risque existe toutefois bel et bien. Il proviendrait du vieillissement
de la population.
Des
propriétaires âgés et modestes pourraient décider de vendre leur
patrimoine immobilier. A l’inverse, les jeunes prennent moins la
décision d’acheter, au-delà de 30 ans. Les deux phénomènes se
cumuleraient dès lors, pour faire baisser les prix, à cause d’un afflux
d’offre. Tel est le pronostic de la FFB, qui estime toutefois que la
baisse sera modérée.
Les taux d'intérêt liés à la bulle immobilière
Les
analystes pensent en effet que les besoins en logement persisteront, du
fait de la démographie et du mode vie, penchant vers la décohabitation.
D’autre part, l’envolée des prix immobiliers constatée entre 2000 et
2007 semble complètement révolue. Plusieurs politiques et certains
banquiers fustigent l’investissement dans la pierre. L’option d’épargne
semble plutôt le retour vers la compétitivité internationale, pour eux.
Par ailleurs, les taux d’intérêt aux emprunts immobiliers sont à leur
plus bas niveau historique, à 3,13%. Selon un expert du secteur, cela
aurait déjà permis d’éviter l’éclatement de la bulle. Enfin, de nombreux
vendeurs tiennent les prix, prenant le mal en patience, quitte à ne pas
vendre.
L’explosion
de la bulle immobilière semble donc peu probable, mais beaucoup de
symptômes d’une bulle sont là, si l'on en croit l’Observatoire français
des conjonctures économiques (OFCE). La Fédération Française du Bâtiment
met en garde contre une forte hausse des taux d’intérêt et recommande
le suivi de l’impact du vieillissement de la population. La baisse des
prix prévue aidera-t-elle à mieux résister à la crise ?
La crise rattrape l'immobilier de bureau en Europe
5.4.13
Le
marché de l’immobilier de bureaux subit la crise en Europe de l’Ouest.
Globalement, les volumes de transactions ont baissé de 8% pour les neuf
principales places européennes. Cependant, l’investissement immobilier,
étonnamment, progresse. Les détails.
L'Europe de l'Ouest très touchée
L’absence de croissance, voire la récession pour certains, a entraîné un repli des demandes de bureaux un peu partout, en Europe de l’Ouest. Par rapport à 2011, le volume de demandes placées de 6,1millions de m² est en repli de 7%. Il est aussi en repli de 7% par rapport à la moyenne des transactions européennes depuis 10 ans, selon le président Advisory Europe de BNP Paribas Real Estate. C’est Milan qui est la plus affectée, avec une chute de 65% de la demande dans son quartier d’affaires. Les marchés de l’Europe du Sud (Madrid – Milan) essuient une chute de 24 à 29%, et n’ont pu placer qu’environ 250.000m².A part Munich et Bruxelles qui ont connu une hausse de la demande, les autres grands centres d’affaires ont enregistré un recul, à des niveaux différents. Le marché allemand a reculé de 9%, avec 2,3 millions de m² placés. Le marché londonien est passé sous la barre du million de m², avec un repli de 8%. Paris a bénéficié des transactions dans le XV, pour le ministère de la Défense (quelque 135.000m²) et de celles de France Télécom, à Châtillon (85.000m²). Avec 2 millions de m² placés, le recul de 3% est dans la moyenne des 10 dernières années.
Certaines places résistent
La crise est donc bien là, mais certaines places prestigieuses réussissent à tirer leur épingle du jeu et résistent mieux. Qualifiées de marchés matures, elles réussissent à attirer les investisseurs étrangers. Ainsi, le marché de l’investissement a progressé de 8%, avec un total de 44,7 milliards d’euros. La Central London enregistre une hausse de 18,7 milliards d’euros, tandis que Central Paris se maintient à 11,5 milliards. Les métropoles allemandes affichent toujours une bonne santé stable.En France, ces apports étrangers comptent pour 41% du volume investi, en nette progression par rapport à 2011 (35%). Parmi ces investisseurs, on constate l’arrivée des Asiatiques, qui sont aussi attirés par les quartiers prestigieux de Paris comme l’étaient les fonds qatars l’an dernier. En dépit des problèmes de l’euro, ils semblent faire confiance à la maturité du marché parisien, notamment à la solvabilité des locataires. C’est le marché du Royaume-Uni qui demeure toutefois le plus international, ce qui explique la hausse de 22% des investissements.
Achat immobilier Toulouse : comptez 3.808 €/m² dans le quartier Ozenne
12.12.12Appartements et maisons : les quartiers les plus chers de Toulouse
Le coût des appartements à Toulouse dans l’ancien s’élève en moyenne à 2.582 €/m² d’après les dernières données des notaires de Haute-Garonne. Les coûts varient toutefois selon les quartiers. Si en général les quartiers de l’hypercentre affichent les tarifs immobiliers les plus élevés, c’est le quartier d’Ozenne qui abrite aujourd’hui les appartements les plus chers avec un prix moyen pratiqué de 3.808 €/m².
Concernant les maisons individuelles, la Côte Pavée détient la palme du quartier le plus cher en termes de prix immobiliers. Avec une moyenne de 453.200 € (contre 255.900 € en Haute-Garonne, et 197.500 € au niveau national), ce quartier se révèle être le plus prisé et le plus coûteux de la Ville rose. Les notaires y ont même noté des « prix ahurissants » dépassant le million d’euros.
Une forte hausse des prix des maisons dans la Ville Rose
Les appartements représentent 80 % des logements vendus à Toulouse. Si le prix moyen des appartements a augmenté de 4,6 % en un an, entre juillet 2011 et juin 2012, celui des maisons a, quant à lui, bondi de 8,3 % durant la même période.
Les notaires tiennent toutefois à tempérer cette forte tendance à la hausse des prix des maisons rappelant que « l’annonce des plus-values, il y a un an, a fortement impacté le volume des ventes de maisons uniquement jusqu’en janvier 2012, mais depuis, la tendance s’est plutôt inversée ». Me Philippe Pailhès, notaire à Toulouse, parle ainsi d’« une sorte de trou d’air du marché ces six derniers mois ».
Malgré tout, la pierre reste une valeur refuge à Toulouse.
Baisse du taux d’emprunt immobilier : coup d’épée dans l’eau
5.12.12Les taux des crédits immobiliers continuent de baisser, un mouvement constaté depuis le printemps, mais qui a tendance à s’amplifier ces dernières semaines. Malheureusement, leur incidence sur le volume de la production de crédits est faible, voire inexistante.
Un grand paradoxe
Normalement, une diminution des taux d’intérêt des emprunts immobiliers incite les ménages à investir dans la pierre. D’après Michel Mouillart, professeur d’économie à l’Université de Paris Ouest, la production de crédits immobiliers est estimée à 115 milliards d’euros pour l’année 2012. Il a atteint 120 milliards au plus fort moment de la crise en 2009 contre 160 milliards en 2011. Ainsi, une baisse de 30 % est constatée par le Crédit Logement pour les neuf premiers mois de 2012 par rapport à la même période de l’année précédente. Or selon l’Agence nationale pour l’information sur le logement (Anil), la diminution des taux d’intérêt n’a pas eu l’effet escompté sur leur production.
À chaque banque ses taux
Dans cette période de forte concurrence, chaque banque applique ses propres taux. En règle générale, ils ont baissé au 15 novembre 2012. Selon la dernière publication de l’agence, la quasi-totalité des établissements bancaires français a réduit leurs index pour le quatrième trimestre alors qu’elles étaient seulement cinq à le faire pendant le troisième trimestre. Ainsi, le taux le plus bas déclaré par les banques citées par l’agence est de 3,02 % avec un pic à 3,75 %. Le taux le plus haut affiché par ces établissements est de 4,40 % avec un plancher à 3,75 %.
Une tentative d’explication
L’Anil constate qu’il y a un réel attentisme au niveau des acheteurs et l’immobilisme du marché de l’immobilier les incite à espérer une baisse des prix de vente. Ainsi, les ménages ne sont plus encouragés à investir dans la pierre malgré un taux d’intérêt exceptionnellement bas. Un constat renforcé par le directeur général du groupe Meilleurtaux.com qui confirme que ce paradoxe provient du fossé qui existe entre le prix réclamé par les vendeurs avec la capacité d’emprunt des néo accédants à l’immobilier.
Achat immobilier : zoom sur les rues les plus chères de Paris
27.11.12
Vous avez un projet d’achat ou de vente immobilier à Paris. Savez-vous que le 6ème, le 7ème et le 8ème arrondissement sont les secteurs les plus chers de la capitale. Zoom sur les prix pratiqués dans ces quartiers très chics de Paris
Les 100 rues les plus chères de Paris dans le cadre d’un achat immobilier
Vous rêvez d’acheter un bien immobilier à Paris ? D’après le dernier baromètre du réseau Efficity, les rues qui affichent les prix les plus les élevés se retrouvent surtout dans trois arrondissements de la capitale :
Quant au titre de rue la moins chère de Paris, elle revient à la rue de la Grenade (19ème arrondissement avec un prix de 4.712 €/m²). La moyenne des prix pour les 100 rues les plus abordables est de 5.870 €/m². A noter que 90% de ces rues sont localisées dans les 17ème, le 18ème et le 19ème arrondissement de Paris.
Stabilisation des prix parisiens d’ici la fin de l’année
Si les prix des logements parisiens ont continué d’augmenter de 1,2 % en moyenne pour atteindre 8.440 € en août dernier, les notaires d’Ile-de-France prédisent toutefois une stabilisation autour de 8.500 € le m² d’ici la fin de l’année. La principale raison évoquée est le repli marqué des ventes qui devrait peser sur les prix.
Ainsi, avec 6.800 logements anciens vendus intra-muros entre la période de juin à août 2011 et juin à août 2012, les transactions ont chuté de 19 % en un an.
Côté délais de vente, Gilles Ricour de Bourgies, président de la Fnaim Ile-de-France confirme que « de plus en plus de biens traînent dans les vitrines des agences, parfois depuis plus de six mois ».
Les 100 rues les plus chères de Paris dans le cadre d’un achat immobilier
Vous rêvez d’acheter un bien immobilier à Paris ? D’après le dernier baromètre du réseau Efficity, les rues qui affichent les prix les plus les élevés se retrouvent surtout dans trois arrondissements de la capitale :
- le 6ème qui abrite 33 des 100 rues les plus chères de Paris,
- le 7ème (31 %),
- le 8ème (11 %).
Quant au titre de rue la moins chère de Paris, elle revient à la rue de la Grenade (19ème arrondissement avec un prix de 4.712 €/m²). La moyenne des prix pour les 100 rues les plus abordables est de 5.870 €/m². A noter que 90% de ces rues sont localisées dans les 17ème, le 18ème et le 19ème arrondissement de Paris.
Stabilisation des prix parisiens d’ici la fin de l’année
Si les prix des logements parisiens ont continué d’augmenter de 1,2 % en moyenne pour atteindre 8.440 € en août dernier, les notaires d’Ile-de-France prédisent toutefois une stabilisation autour de 8.500 € le m² d’ici la fin de l’année. La principale raison évoquée est le repli marqué des ventes qui devrait peser sur les prix.
Ainsi, avec 6.800 logements anciens vendus intra-muros entre la période de juin à août 2011 et juin à août 2012, les transactions ont chuté de 19 % en un an.
Côté délais de vente, Gilles Ricour de Bourgies, président de la Fnaim Ile-de-France confirme que « de plus en plus de biens traînent dans les vitrines des agences, parfois depuis plus de six mois ».
Immobilier : l'ancien victime du blocage du marché
23.11.12
La chambre des notaires prédit quelque 650 000 biens vendus dans l'ancien au
titre de l'année 2012 et une contraction plus accentuée des ventes sur 2013 à
défaut du PTZ dans ce secteur.
Un marché indécis
Immobilier : les ventes dans l'ancien continuent de baisser dans toute la France, affirment les notaires dans leur dernière publication sur l'état du marché. Si au début de l'année, l'attente des résultats des élections présidentielles a apporté son lot d'incertitudes et a pesé défavorablement sur les transactions, la Chambre des notaires souligne que l'attentisme perdure. Les Français sont suspendus aux différentes mesures fiscales annoncées par l'actuel gouvernement, qui seront adoptées dans les mois voire les semaines à venir et qui seront déterminantes sur l'évolution du secteur.
Une baisse généralisée sur tout le territoire
Cette situation engendre un état particulier, où il est difficile de prévoir le cours futur des choses pour les différents acteurs de la filière qui ne peuvent que constater la stagnation des transactions sur tout le marché. Dans l'ancien, les ventes clairement ont chuté. Ainsi au terme du mois d'août, elles ont baissé de 20 % pour les appartements et de 23 % pour les maisons dans la région d'Ile de France. Dans les villes de province, il a été enregistré une chute de 17 % pour tous les biens anciens. Vu le volume de transactions effectuées depuis janvier, les estimations tablent sur quelque 650 000 biens anciens vendus sur l'ensemble de l'année 2012 contre 800 000 ventes recensées en 2011.
Des ventes en recul en 2013 sans le PTZ
Quant à l'immobilier neuf, l'objectif des 75 000 ventes annoncé serait atteint à fin 2012 grâce au dispositif Scellier. Ce dernier arrivera à son terme au 31 décembre prochain. La Chambre prédit un seuil de 600 000 ventes dans l'ancien en 2013, sauf précise-t-elle, si le PTZ s'applique de nouveau à ce secteur. Concernant les prix, les sources émanant des notaires et de l'Insee font état d'un recul de 1,3 % sur les maisons et de 0,1 % sur les appartements. Un glissement sur deux ans ferait apparaître un recul de 10 % des prix au terme de l'année 2013, affirment encore les analyses.
Un marché indécis
Immobilier : les ventes dans l'ancien continuent de baisser dans toute la France, affirment les notaires dans leur dernière publication sur l'état du marché. Si au début de l'année, l'attente des résultats des élections présidentielles a apporté son lot d'incertitudes et a pesé défavorablement sur les transactions, la Chambre des notaires souligne que l'attentisme perdure. Les Français sont suspendus aux différentes mesures fiscales annoncées par l'actuel gouvernement, qui seront adoptées dans les mois voire les semaines à venir et qui seront déterminantes sur l'évolution du secteur.
Une baisse généralisée sur tout le territoire
Cette situation engendre un état particulier, où il est difficile de prévoir le cours futur des choses pour les différents acteurs de la filière qui ne peuvent que constater la stagnation des transactions sur tout le marché. Dans l'ancien, les ventes clairement ont chuté. Ainsi au terme du mois d'août, elles ont baissé de 20 % pour les appartements et de 23 % pour les maisons dans la région d'Ile de France. Dans les villes de province, il a été enregistré une chute de 17 % pour tous les biens anciens. Vu le volume de transactions effectuées depuis janvier, les estimations tablent sur quelque 650 000 biens anciens vendus sur l'ensemble de l'année 2012 contre 800 000 ventes recensées en 2011.
Des ventes en recul en 2013 sans le PTZ
Quant à l'immobilier neuf, l'objectif des 75 000 ventes annoncé serait atteint à fin 2012 grâce au dispositif Scellier. Ce dernier arrivera à son terme au 31 décembre prochain. La Chambre prédit un seuil de 600 000 ventes dans l'ancien en 2013, sauf précise-t-elle, si le PTZ s'applique de nouveau à ce secteur. Concernant les prix, les sources émanant des notaires et de l'Insee font état d'un recul de 1,3 % sur les maisons et de 0,1 % sur les appartements. Un glissement sur deux ans ferait apparaître un recul de 10 % des prix au terme de l'année 2013, affirment encore les analyses.
Assurance prêt immobilier cancer : Cancer, est-ce un obstacle pour l’obtention d’un prêt immobilier
8.11.12
Assurance prêt immobilier
Pour que la demande de prêt immobilier soit recevable, l’établissement de crédit exige parfois la souscription d’une assurance pour emprunt immobilier . Pour cela, le souscripteur aura intérêt à prouver un état de santé convenable car dans le cas contraire, l’assureur préfèrera le désistement. En effet, une assurance prêt immobilier permettra de rembourser le prêteur grâce à un assureur (société d’assurance de prêt) en cas de réalisation du risque. Habituellement, la souscription de l’assurance de prêt est de rigueur même si elle n’est pas soumise à l’obligation. L’établissement de crédit n’apprécie pas tellement sa suppression au risque d’annulation du contrat.Assurance prêt immobilier cancer
Aussi, dans le cas d’une maladie grave comme le cancer, la souscription de Votre assurance de pret n’est pas facile voire impossible. D'où la nécessité d’établir un devis d'assurance de prêt spécifique. Il y a plusieurs solutions pour trouver une assurance de prêt en risque aggravé mais leurs coûts sont trop importants. La convention AERAS a pour objectif la proposition aux personnes nécessiteuses, des solutions pour pouvoir accéder à un crédit. Ainsi, les personnes atteintes d’un cancer peuvent contracter une assurance dite assurance prêt immobilier cancer. En quoi le courtage en est utile Des cabinets spécialisés sont disponibles pour accompagner les nécessiteux à la recherche d’assurance prêt immobilier cancer. En effet, ils sont appelés à monter le dossier d’assurance avec son client et le transmettent ensuite à l’assureur préalablement choisi grâce à des critères requis (meilleures garanties dont le souscripteur pourra bénéficier). De ce fait, les personnes atteintes d’un cancer peuvent contracter une assurance dite «assurance prêt immobilier cancer». Comme dans toutes les cas de risque aggravé, métiers dangereux, sports à risques, risques aggravés de santé, il est donc important de consulter plusieurs interlocuteurs, assureurs, courtiers indépendants etc. De plus, il existe aussi plusieurs sites internet qui permettent d'obtenir informations et conseils à propos de l'assurance de prêt et aussi de réaliser des simulations en quelques instants.Liens Intéressants : avocats spécialistes. Des avocats spécialistes vous répondent sur le droit immobilier et le droit fiscal.
Comment réussir la vente de son bien immobilier ?
16.10.12
Comment réussir la vente de
votre bien immobilier ? Voici quelques clés pour vous permettent d’avoir
toutes les cartes en main pour une transaction réussie.
Des clés pour optimiser vos chances de bien vendre votre bien immobilier
Aujourd’hui, vendre son bienimmobilier est
devenu plus difficile. La montée du chômage, le durcissement des conditions
d’octroi des crédits immobiliers par les banques, les incertitudes liées à la
crise paralysent le marché immobilier. Pour réussir la vente de son logement,
le vendeur doit plus que jamais être attentif à de nombreux points.
Vous êtes vendeur,
veillez à :
- Afficher le juste prix, donc vous informer au préalable sur les prix du marché local et, si besoin, faire estimer votre bien par un professionnel de l’immobilier
- Garder toutefois une marge de négociation, car avec la crise, les acheteurs n’hésitent pas à négocier les prix
- Mettre votre bien en valeur : ranger et nettoyer votre maison et votre jardin, aménager les pièces de manière neutre, dégager les accès, ranger les objets trop personnels, rafraîchir les peintures, équiper la cuisine, etc.
- Vous munir de tous les documents nécessaires à la vente de votre bien (diagnostics immobiliers, DPE, charges de copropriété, derniers rapports de réunion du syndic, etc.)
Opter
pour l’immobilier 100 % entre particuliers
Avec l’émergence d’internet et la baisse de leur pouvoir
d’achat, les acheteurs privilégient aujourd’hui les annonces de particuliers
diffusées sur le web. En contactant directement le vendeur, ils font l’économie
des frais de commission à la vente et bénéficient des mêmes garanties qu’en
passant par une agence puisque la transaction se fait devant un notaire quelque
soit la formule choisie.
En diffusant votre annonce sur un site spécialisé dans
l’immobilier 100% entre particuliers, vous augmentez la visibilité de votre
annonce et vos chances de vendre dans les meilleures conditions du marché.
Appliquer
les principes du home staging
Afin de vendre votre
logement dans les meilleurs délais et au meilleur prix, vous pouvez aussi
contacter un spécialiste du « home staging » ou appliquer les
principes de base de ce concept destiné à faciliter la vente des biens
immobiliers. Home staging signifie littéralement « mise en scène de la
maison ». Pour un coût de prestation n’excédant généralement pas 1 à
2 % du prix de vente du bien concerné (excepté en cas de travaux
importants de rénovation), le home stager valorise ledit bien à moindre coût.
Libérer l’espace, dépersonnaliser, décorer de façon neutre et rationaliser
l’aménagement constituent le b.a ba du home staging, dont l’objectif est
de déclencher le coup de cœur chez l’acheteur potentiel.